Le premier juin est arrivé et ceci ne peut signifier qu'une chose: finale nationale. L'Olympia sera l'hote de vingt groupes qui vont se battre pour arriver au Taubertal Open Air Festival, cet été en Allemagne. Parmi eux, Elam. 

Comment vous sentez-vous maintenant que vous êtes proches de la finale internationale?
Nous avons vraiment hâte de participer à la finale Montréalaise et évidemment, arrivé à ce stade, on se prend à rêver d'avoir la chance de partir en Allemagne. Nous avons travaillé fort pour être prêt, alors quoi qu'il arrive à l'Olympia, nous serons fier de notre parcours… Nous le sommes déjà d'ailleurs…

Aimez-vous l'Olympia et êtes vous excités d'y jouer?
Excités ? Le mot n'est pas assez fort !

Trois mots pour décrire votre parcours avec Emergenza.
Ce festival aura été une expérience très enrichissante pour nous quatre. N'oublions pas que lorsque nous nous sommes inscrit, nous étions un groupe fraîchement formé. Emergenza nous aura non seulement permis de mieux nous connaître et de nous rapprocher dans un court délai, mais aussi de vivre une aventure très forte en émotions, grâce à un public survolté et toujours réceptif, à l'organisation du festival et aux autres participants dont le niveau et le talent nous poussent à nous transcender.

Quelle a été la soirée qui vous a donné le plus de satisfaction?
Sans hésiter, la première ronde… C'était notre premier show ensemble, c'était le début de l'aventure Emergenza et puis c'était le premier contact avec notre public… C'était la soirée des grandes premières !

Est-ce que vous avez connu des groupes que vous aimez tout au long du concours?
Difficile de ne pas trouver des groupes à apprécier tout au long de ce concours, tant le niveau a été impressionnant… Dès la première ronde, nous avons sympathisé avec certains comme Cirhose et cendrier ou NSE. Et puis évidemment, il y a Voodoo Shango Experience, mais eux ils faisaient déjà partie de notre entourage avant Emergenza.