Un comptoir, une rue, une scène… Des routes, des chemins, des impasses... Mais toujours cette guitare qui cause, ce violoncelle qui balance, cette guitare qui sans cesse prends la paroles au quartes coins des notes, et puis la voix, celle qui raconte, entre les voyages et les naufrages, les boulevards que l'on traverse sans cesse… De ces histoires lointaines qui viennent du cœur et des tripes, de ces peines quotidiennes rythmées par l'étincelle et l’émotion de chaque instant, Mam'zelle Soledad tisse son univers et s’installe là, ici, ailleurs…Où bon lui semble.... Trois garçons pour vous chanter les chansons des belles et des putains, jusqu’au matin…
Mikael Gardret 02 dicembre 2010 01:42
